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Plus d'informations sur votre eau
Découvrez si l'eau qui coule du robinet de votre évier contient des polluants chimiques. Rendez-vous sur le site dansmoneau.fr et utilisez la carte interactive mise à disposition pas Générations futures et Data for Good pour connaitre la qualité de votre eau potable.






Niveaux de filtration
Osmose inverse
Nanofiltration
Ultrafiltration
Microfiltration
Eau du réseau
Porosité
jusqu'à 0,0001 µm
jusqu'à 0,001 µm
jusqu'à 0,01 µm
jusqu'à 0,1 µm
-
Taille de filtration
Retient quasi tout
Retient molécules organiques de taille moyenne
Retient bactéries et virus moyens
Retient particules visibles
Variable
(dépend de l’usine)
Elimine efficacement
99 % des nitrates, pesticides, métaux lourds, résidus médicamenteux, microplastiques, virus, bactéries
Pesticides, solvants, une partie des nitrates, métaux lourds, résidus médicamenteux, virus
Bactéries, parasites, microplastiques, une partie des virus
Sables, rouilles, algues, protozoaires, certaines bactéries
Germes pathogènes classiques (chlore tue bactéries, virus), particules grossières, turbidité
Laisse passer
Très peu de minéraux (reminéralisation possible)
Certains sels minéraux (Ca, Mg), une petite partie de nitrates & polluants très petits
Nitrates, sels minéraux, pesticides dissous, solvants, métaux lourds, PFAS
Virus, pesticides, nitrates, métaux lourds, micro-polluants chimiques, PFAS
Traces de chlore, nitrates, pesticides, métaux lourds, microplastiques, résidus médicamenteux, PFAS
Impact sur PFAS
C’est le seul procédé domestique fiable contre les PFAS, avec une efficacité >90–95 %
Peut réduire une partie des PFAS (selon leur taille et structure), mais pas 100 %
Aucun effet notable
Aucun effet
Les PFAS passent quasi totalement, car non réglementés et très persistants
Pour vous faciliter la vie,
nous avons créez l'Aquascore
Parce que c'est simple ! En classant les différents niveaux de purification de A à E sur un modèle dont vous avez l'habitude, en fonction de la capacité de filtration de votre équipement, il devient plus simple de choisir son matériel. Partons de votre eau de réseau classée E pour rejoindre le niveau de purification ultime classée A et naviguons facilement entre l'ultrafiltration, la nanofiltration ou l'osmose inverse !

Découvrez les différents niveaux de l'Aquascore :

OSMOSE INVERSE (RO)
Retient les particules jusqu'à 0,0001 microns
Filtre la majeure partie des sels minéraux dissous et des contaminants qui peuvent être contenus dans l'eau.
L'osmose inverse utilise la membrane plus fine qui élimine jusqu'à 99% des polluants* : nitrates, pesticides, métaux lourds, bactéries, virus, microplastiques, résidus médicamenteux.
Ressort une eau quasiment pure, parfois trop "déminéralisée". L'eau osmosée peut être rééquilibrée en la reminéralisant légèrement avec des cartouches de finition pour ajuster son gout et son odeur et la rendre parfaitement buvable au quotidien.
L'osmose inverse est le seul vrai bouclier domestique contre tous les polluants, y compris les les polluants éternels (PFAS).
Avantages : meilleure sécurité sanitaire, goût neutre, protection maximale.
Limites : équipement plus coûteux, besoin d’entretien, légère perte d’eau concentrée en rejets.

NANOFILTRATION (NF)
Retient les particules jusqu'à 0,001 microns
Filtre les molécules organiques dissoutes, les pesticides et les nitrates qui peuvent être contenus dans l'eau.
La nanofiltration utilise une membrane très fine, proche de l'osmose inverse mais laisse passer une partie des minéraux; il n'est donc pas utile de la reminéraliser pour la boire. Ressort une eau très purifiée avec certains minéraux (calcium, magnésium) et une faible quantité de nitrates et pesticides. La nanofiltration protège de la plupart des polluants chimiques et retient une majorité de métaux lourds, résidus médicamenteux, virus et bactéries. C'est donc un excellent compromis de purification même si certains les polluants éternels (PFAS) ne sont pas retenus.
Avantages : très bonne réduction des polluants chimiques (pesticides, solvants, métaux lourds), tout en gardant un peu de minéralité.
Limites : plus coûteux et nécessite une pression plus élevée que l’ultrafiltration.

ULTRAFILTRATION (NF)
Retient les particules jusqu'à 0,01 microns
Filtre les bactéries, les virus et les colloïdes qui peuvent être contenus dans l'eau.
L'ultrafiltration utilise une membrane très fine qui stoppe les bactéries, parasites, microplastiques et une partie des virus.
Ressort une eau purifiée qui conserve ses sels minéraux dissous. L'ultrafiltration ne retient ni les pesticides, ni les nitrates, ni les métaux lourds, ni les molécules chimiques et encore moins les polluants éternels (PFAS).
Avantages : Très économique, excellente barrière microbiologique, eau plus sûre.
Limites : ne supprime pas les polluants chimiques.

MICROFILTRATION (MF)
Retient les particules jusqu'à 0,1 microns
Filtre les sédiments et les grosses particules qui peuvent être en suspension dans l'eau.
La microfiltration n'utilise pas de membrane, mais uniquement des cartouches filtrantes qui retiennent les sédiments, rouille, sable, particules et certaines bactéries. De part la taille de ses pores, la microfiltration est une barrière mécanique mais pas chimique. C'est un outil idéal pour une préfiltration ou une clarification d'une eau de pluie ou de forage. Ressort une eau claire, sans le goût désagréable lié aux particules. La microfiltration ne stoppe ni les virus, ni les pesticides, ni les métaux lourds, ni le chlore, ni les nitrates… ni les molécules chimiques et encore moins les polluants éternels (PFAS).
Avantages : améliore la clarté et enlève le goût désagréable lié aux particules.
Limites : protection limitée, ne traite pas les contaminants chimiques ou très fins.

RÉSEAU DOMESTIQUE
L'eau qui alimente le réseau domestique et qui coule au robinet à généralement subi un traitement pour la potabiliser : une désinfection (chlore, ozone, UV) et une filtration grossière dans les usines de traitement. Reste généralement selon la région, chlore, métaux lourds résiduels, pesticides, nitrates, microplastiques, résidus médicamenteux, polluants éternels (PFAS)...
Même si l’eau distribuée par le réseau public est rigoureusement contrôlée, il existe toujours un risque de contamination ponctuelle ou secondaire, surtout entre la station de traitement et le robinet : contaminations microbiologiques, contaminations chimiques, contaminations physiques (sable, rouille, dépôts calcaires, boues fines), contaminations secondaires au bâtiment.
En résumé, des contaminations peuvent survenir dans le réseau d’eau potable, principalement microbiologiques et chimiques, dues à des fuites, à la corrosion, à la pollution du sol ou à des installations internes défectueuses.
C’est pourquoi, les équipements de filtrations domestiques et professionnels restent des garanties essentielles de sécurité sanitaire.
Avantages : potable et contrôlée, très économique.
Limites : goût, odeur, et présence possible de traces de polluants émergents non réglementés.
En résumé (**) :


OSMOSE INVERSE PROFESSIONNELLE (RO)
Retient les particules jusqu'à 0,0001 microns
* Le taux de rétention d’une membrane d’osmose inverse dépend de sa qualité, de son état d’entretien, de la pression appliquée et du type de polluants. Globalement, le taux de rétention varie entre 90 et 99.9% des polluants dissous dans l'eau.
Une membrane d'osmose inverse de qualité professionnelle, comme les membranes 40-21 ou 40-40 produit une eau très proche de la pureté maximale, idéale pour les process industriels. Cette eau n'est pas buvable telle quelle et doit subir un traitement de reminéralisation pour être consommée.
** Ces informations sont indicatives et peuvent varier selon les technologies et les équipements de filtration, la zone géographique, l'entretien des systèmes de filtration...

Focus sur les polluants éternels (PFAS)
Qu’est-ce que c’est ?
Famille de milliers de composés chimiques (teflon, mousses anti-incendie, imperméabilisants, emballages alimentaires…).
Pourquoi éternels ?
Ils sont extrêmement persistants, ne se dégradent pas dans l’environnement et s’accumulent dans les organismes vivants.
Santé :
Perturbateurs endocriniens, effets sur foie, thyroïde, fertilité, immunité.
Dans l’eau :
Présents à l’état de traces (nanogrammes par litre), mais difficiles à éliminer.
Solution efficace :
Osmose inverse
Les polluants éternels (PFAS) : un défi majeur pour la qualité de l’eau
Les polluants éternels, aussi appelés PFAS (substances per- et polyfluoroalkylées), représentent aujourd’hui l’un des plus grands défis environnementaux liés à l’eau. Utilisées depuis les années 1950 dans de nombreux produits industriels et domestiques (textiles, emballages alimentaires, mousses anti-incendie, revêtements antiadhésifs…), ces substances sont extrêmement persistantes dans l’environnement.
Elles ne se dégradent presque pas et peuvent s’accumuler dans les sols, les nappes phréatiques et les organismes vivants, y compris l’être humain.
Les études scientifiques ont montré que certaines PFAS peuvent avoir des effets néfastes sur la santé, notamment sur le système hormonal, immunitaire et reproductif. Leur présence croissante dans les eaux souterraines et de surface a conduit les autorités à renforcer la réglementation et à encourager le déploiement de solutions de traitement adaptées.
Les solutions de traitement performantes
Face à cette problématique, il devient essentiel d’équiper les installations en dispositifs capables de capturer ou d’éliminer les PFAS avant leur rejet ou leur consommation.
Parmi les technologies les plus efficaces figurent :
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Les filtres à charbon actif, capables de retenir une grande partie des composés fluorés.
-
Les résines échangeuses d’ions, qui permettent une élimination ciblée de certaines molécules.
-
Les systèmes membranaires (nanofiltration, osmose inverse), particulièrement adaptés aux usages professionnels et industriels exigeant une qualité d’eau irréprochable.




